Kimbe mwen : smooth zouk ?

Au hasard de mes pérégrinations sur internet je suis retombé sur cet article dans lequel on nous dit qu’on n’oublie jamais la musique de notre adolescence et que c’est normal. Ça me rassure parce qu’il y a effectivement quelques chansons que j’écoute et qui maintenant me propulsent à l’époque ou j’étais jeune et beau sans poignées d’amour disgracieuses, et maintenant je sais que je ne suis pas bloqué sur ma jeunesse perdue suite à je ne sais quel traumatisme refoulé mais je suis quelqu’un d’à peu près normal, enfin ni plus ni moins qu’un autre mais ce n’est pas le